Deux lieux d'enseignement à Montréal :
• 2030, boul. Pie-IX, studio 206 (Hochelaga-Maisonneuve)
- COURS
- ATELIERS
- DÉROULEMENT
Apprendre, se perfectionner, partager...
Les cours hebdomadaires et ateliers se poursuivent également ! Il y en a pour tous les niveaux : de débutant à très avancé.
Tous nos cours et ateliers se déroulent dans deux lieux d'enseignement, identifiés ci-dessous par les couleurs :

COURS HEBDOMADAIRES

PRATIQUES

ATELIERS



Nathalie Coutu
Après avoir exploré différentes approches corporelles, j'ai découvert l'Art du Chi que je pratique depuis plusieurs années. J'ai aujourd'hui le plaisir de partager ma passion avec les personnes qui souhaitent explorer cet art, et ce tout en poursuivant ma formation personnelle. Je privilégie les cours en petits groupes, ce qui me permet d'adapter mon enseignement et d'accorder une attention soutenue à chacun.
Enseigne à Montréal, à Saint-Bruno et à Saint-Lambert.
nathaliecoutu@hotmail.com

Yvan Désautels
Professeur délégué à la Formation personnelle
Je suis pratiquant de l'Art du Chi depuis 1985. J'ai suivi de nombreux stages de formation avec Vlady Stévanovitch, Michèle Stévanovitch et Pierre Boogaerts. Je suis enseignant depuis 1989. Je pratique et enseigne l'Art du Chi pour le plaisir et le bien-être qu'il apporte. Le corps et la santé en sont grandement améliorés.
Enseigne à Granby, à Saint-Hyacinthe et à Montréal.

Marie-Eve Gamache-Perron
Quand je suis arrivée à la journée Portes ouvertes du Centre Pierre Boogaerts, j'ai su tout de suite que j'avais trouvé des «
Enseigne à Montréal.
marieeve41@hotmail.com

Lucie Lapointe
Professeur délégué à la Formation personnelle
Lucie pratique et enseigne le Tai Ji Quan depuis plus de quarante ans. L’enseignement de l’Art du Chi qu’elle a principalement reçu de Vlady Stévanovitch et de Pierre Boogaerts a profondément marqué ses choix de vie. Après avoir passé plus de quinze ans comme permanente et enseignante au Centre Pierre Boogaerts, elle est de retour à Montréal où elle enseigne dans le cadre de la coopérative Art du Chi Montréal.
Enseigne à Montréal.
lucielapointe@artduchi.com

Alain Neveu
Sa recherche artistique et plus précisément ce qui touche « la main » a amené ALain vers l'Art du Chi en 1992. Il a approfondi sa pratique pendant 3 ans en Europe aux côtés de Vlady Stévanovitch, puis un autre 5 ans, de retour au Québec pour la construction et le démarrage du Centre Pierre Boogaerts. Il partage son plaisir avec enthousiasme et bonheur en transmettant ses découvertes.
Enseigne à Chertsey et à Montréal.
alainneveu@artduchi.com

Inès Périlleux
Professeur délégué à la Formation personnelle
C'est à l'âge de 22 ans qu'Inès Périlleux rencontre Vlady Stévanovitch. Émerveillée par son enseignement, elle décide de se consacrer à l'apprentissage, à la pratique et à l'enseignement de l'Art du Chi. En 1992, elle fonde le Centre de Tai Ji Quan Côté-Sud à Longueuil et, depuis, elle s'entoure d'enseignants reconnus par l'École de la Voie intérieure pour offrir des cours et des stages de tous les niveaux.
Enseigne au Centre Côté Sud et à Montréal.
Si vous êtes comme moi, la pandémie a contribué à vous éloigner de la pratique de l’Art du Chi, ou du moins à ralentir votre élan. Ce n’est peut-être pas le seul facteur, mais l’impossibilité, un certain temps, des cours en salle, la distance imposée par le médium froid de l’ordinateur dans les cours en ligne, tout cela a liquéfié quelque peu le rapport déjà si évanescent au Chi. Rapport qu’il faut sans cesse consolider, qui n’est jamais acquis, qui exige l’assiduité pour être bénéfique, pour nourrir. Comme n’importe quel art, en fait.
Dans son magnifique texte du superbe numéro du Tantien Mag qui lui est consacré (décembre 2022, lien), Léon Bernier confie que la pratique personnelle de l’enseignant doit prendre le pas sur le « discours mental » qui l’habite parfois dans sa volonté d’inculquer les bases. « Plus on progresse dans l’enseignement du Taï Ji Quan, plus notre propre pratique devrait teinter notre enseignement. » Il dit avoir conseillé à un enseignant de longue date, qui faisait face à un écueil : « accorde plus d’importance à la pratique qu’à l’enseignement ».
Je pense que l’importance de la pratique s’applique également aux non-enseignants, c’est-à-dire que le Chi se cultive par la pratique, à laquelle il faut accorder une place régulière pour goûter ses bénéfices, car le Chi nourrit la pratique. Sorte de complémentarité circulaire qui fait du bien, qui anime, renforce et vitalise. Mais, comme me lance Léon en riant à la fin d’une conversation, il ne faut pas oublier le plaisir !
Ah, comme tout s’enchevêtre : plaisir, pratique, chi. Une recherche d’équilibre sans doute, une écoute des diverses facettes à l’œuvre. Et cela, en évolution constante. Avec des hauts et des bas. Mais avec, en toile de fond, la persévérance et la continuité.
Je nous souhaite donc de maintenir cette pratique vivante avec, en récompense, les fenêtres ouvertes sur le plaisir et le chi combinés !
Johanne Rivest, promonca, janvier 2023